Médecin De Service Pour Visites À Domicile. Chapitre 2 – Partie 1

Un médecin d’opérette propose des visites gynéco plutôt hard et à domicile…

Pour bien comprendre et suivre les propos de ce récit, il convient d’avoir présents à l’esprit les points et les mesures, détaillés dans les deux textes précédents : Chapitre 1, points 1 à 5

Chapitre 2 - Quelques souvenirs, anecdotes et commentaires, concernant ces visites médicales " at home" :


1 – A Nantes, Reims, puis à La Rochelle :

A ce jour plus de 23 visites sont à mettre à notre actif. Elles ont été effectuées dans diverses circonstances : 6 ou 7 l’ont été " en individuelle ", c’est-à-dire la patiente et son mari, parfois une troisième personne en observateur ou observatrice ; 7 ou 8 réalisées dans des cercles de plus de 20 personnes lors de grandes partouses échangistes et au moins 8 en soirées avec 4 ou 5 couples (environ une douzaine de personnes).
Cette dernière formule est de loin la plus intéressante pour bien mener les examens et elle permet le mieux de bien resserrer l’ambiance autour de l’équipe médicale…

Les anecdotes qui suivent, dont certaines ont fait l’objet de récits particuliers, seront souvent assorties de commentaires venant du médecin lui-même ou de son assistant, parfois aussi des patientes elles-mêmes. Ces anecdotes sont présentées dans l’ordre chronologique de la procédure exposée ci-dessus, même si certaines situations traversent à l’évidence, plusieurs phases de ce protocole d’auscultation…

Par exemple pour commencer, parlons de quelques séances où l’accueil et l’entretien médical ont été plutôt intéressants du point de vue de ce qui s’est passé ensuite… Lors de ces entretiens, à un certain moment, je demande à la dame de se dévêtir ; ce qui est normal pour commencer à procéder à l’examen, tandis que l’assistant prend des notes. Je fais de cet instant de déshabillage, un jeu (bien trop long à décrire ici) pour dédramatiser ce début de " visite", pas toujours facile à accepter, même avec des patientes particulièrement exhibitionnistes, bien motivées et excitées…

Ainsi, à Nantes, une femme dans une soirée avec 4 autres couples, jolie brune, grande, d’environ 37 - 40 ans, que je nommerai Emilie et vêtue d'une robe légère et très ample s'est mise nue.

Elle a enlevé ses dessous, puis a renfilé sa jupe… J'ai donc dû jouer le jeu et pendant toute cette première partie de l’examen, ouvrir et refermer constamment son corsage et la trousser sans cesse sa jupe grise, pour avoir accès aux endroits que je devais ausculter (Photo 11)… Ce qui avons-le, était très érotique et a contribué à bien chauffer l'ambiance…

Une autre fois dans la région de Reims, j’ai dû couper aux ciseaux une jolie petite culotte de belle soie que la patiente avait refusé d’enlever, par jeu elle aussi, pour voir comment je me débrouillerais de la situation...

Une autre fois encore, je me suis servi de la petite chemise de la dame qui gênait le massage de sa poitrine, pour lier les poignets de la blondinette au-dessus de sa tête ; ainsi j’ai neutralisé ses mains qu’elle envoyait par anticipation, partout où on allait la toucher...

Cette anecdote m’en rappelle une autre : lors d’un examen approfondi, réalisé chez un couple de La Rochelle, à la demande du mari et en petit comité restreint de 5 personnes… Il s’agissait d’une très belle femme que j’appellerai : " Aline" (Photo 12). La quarantaine, très B.C.-B.G à un moment donné de ce début de consultation, je la mettre debout, jambes écartées et un peu fléchies pour que je l’examine du mieux possible dans cette position…

Je fais là une petite parenthèse pour expliquer la prise de mesure qui va être opérée maintenant : au début, il faut pouvoir avoir accès à l’entrejambes sans faire trop ouvrir la fente pour commencer les premières mesures prévues sur celle-ci.

Pour cela, je demande à la patiente de garder la pose quelques instants, le temps de trouver, au toucher par palpations, sur le haut du pubis, la naissance précise de la fente féminine… Je la palpe donc avec douceur et sans écraser les chairs, pour bien sentir le point où la dépression s’amorce, c’est-à-dire le tout début de la fente avant. Pas facile parfois, surtout cette fois-ci, du fait que la dame a un pubis bien fourni en poils.


Pour conserver la " mémoire " de ce point, je laisse le doigt à cet endroit. Puis de l’autre main, en passant par-dessous l’entrejambes et allant par derrière, je vais chercher de la même façon, la naissance haute de la raie culière. De la mesure entre ces 2 points, prise en faisant très attention de ne pas faire ouvrir la vulve, on obtient la longueur de la raie féminine au repos, appelé " le coefficient de féminité ". C’est là une mesure propre à chaque femme qui va devenir une mesure importante de référence pour la suite... (Photo 13)

Eh bien là, à cette soirée à La Rochelle donc, lors de cette prise de mesures, Aline, la jolie Rochelaise en question m’a déchargé sur le bras. Elle ruisselait doucement, la cyprine s’échappait en nappes discrètes de sa chatte pourtant bien enfermée à l’intérieur des grandes lèvres épaisses que j’avais eu soin de maintenir fermées. D’ailleurs, elle a ensuite reconnue que la caresse faite lors de la reconnaissance des points de référence, a été pour elle, si délicate, si furtive, si inhabituelle et si… excitante, que cela l’a fait fondre et lui a donné du plaisir… En plus dans cet environnement qui l’érotisait et devant son mari qui commençait à se branler, elle s’était laissé aller à sa jouissance en s’excusant du fait…

Un peu plus loin, toujours dans l’examen de cette même jolie Aline, je remarque au bord intérieur de l’une de ses grandes lèvres qu'elle a bien charnues, développées et très enveloppantes, comme une sorte de grain de beauté. J’inspecte méticuleusement à la loupe la partie latérale interne de cette lèvre et je découvre tout près de la fente et à environ 2 cm à peine du clito, une petite tétine de chair grosse comme un petit pois, d’aspect assez compact et plutôt foncé, un peu de la couleur des bords des petites lèvres dont elle est proche (Photo 14).

La femme reconnait sous mes questions, que lorsqu'elle se branle, pour pouvoir jouir pleinement, il lui est indispensable de frotter de son majeur cette excroissance en même temps que son index branle le clitoris.
Elle nous montre exactement comment elle procède en pareille situation. Le mari ajoute alors que de son côté, il suce cette petite tétine avec autant de plaisir qu’il suce le clitoris de sa femme… Je me mets donc à caresser doucement la petite excroissance en question et je m’aperçois que la dame part rapidement en une intense jouissance.

Cécilia, mon assistante, présente à cette soirée, prend en main la bite du mari. Un beau membre de belle taille et bien bandé. Elle prend le relais et le branle devant sa femme qui jouit. Après l’avoir mis en bouche quelques instants (Photo 15), elle l’approche de la fente de la femme qui s’est couchée dos sur la table. Cécilia soulève une des cuisses de la patiente et amène le bout du gland de l’homme sur l’excroissance où elle le branle un instant avec application.

Il ne faut pas longtemps au type pour qu’il décharge en abondance sur le repli de chair et sur la fente de sa femme. Les jets de foutre chaud déterminent la jouissance de celle-ci qui décharge de nouveau sa liqueur, tandis que je lui roule un patin très mouillé. Mon assistante fait alors ce qu’il faut en pareil cas : elle enfile bien profond, la bite dégoulinante du mari dans vagin de sa femme qui est ainsi baisée au con par son propre mari, au milieu de l’assemblée qui faisait cercle autour de nous…

Dans ce cas précis et à propos de cette excroissance, concernant son apparence, on peut penser qu’il s’agit d’une simple tétine de chair qui s’est formée tout près de la lèvre, mais le comportement de la belle, relativement à cette anomalie, m’intrigue. Dans le doute et par conscience professionnelle, je décide d’en faire un examen minutieux et détaillé.

Ce faisant, je ne tarde pas à découvrir que le petit bouton en question est bien plus qu’une simple tétine de chair puisqu’il s’enracine par-delà la petite lèvre qui est en dessous, à la base du clitoris dont il est une sorte de diverticule. Un clitoris bis en quelque sorte, à deux centimètres de l’original… Rien d’étonnant qu’il réagisse comme son homologue au branlage et au sperme !

Comme quoi, on ne saurait connaître d’emblée toutes les anomalies sexuelles qui existent autour de nous de par le monde !
A suivre…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!